VICTORIA LACE – Captif d’un barbare
Avis général
Derrière les hauts murs de la cité d’Ancolia, l’herboriste Lorenzo s’ennuie. Il rêve d’aventures et d’amour, tout en sachant qu’il risque d’être bientôt choisi pour devenir le compagnon d’une femme du béguinage, alors qu’il n’est attiré que par les hommes. Lors d’une sortie en forêt pour cueillir des plantes, le jeune homme est capturé par un Barbare, Magnus, qui l’emmène dans son village et en fait son esclave. D’abord révolté, Lorenzo finit peu à peu par céder aux feux de la passion qu’allument en lui Magnus et ses caresses. L’amour nait entre eux. Mais les étranges coutumes et les rivalités entre guerriers barbares font peser une menace sur cet amour encore fragile… |
Appréciation: C’est toujours un plaisir de lire la plume de Victoria Lace. Pour le scénario et l’histoire autour de la cité d’Ancolia, j’ai trouvé l’idée assez bien recherchée et bien mise en scène. L’auteure nous a construit un petit monde où les femmes, après une grave épidémie de fièvre, ont été presque décimées, vivant en autarcie et ne font appel aux hommes uniquement pour la reproduction, ces derniers vivant donc en couple entre eux. Dans ce petit univers, nous avons donc les Romans, “civilisés”, et les barbares… Après une petite virée en forêt pour ramasser des herbes, Lorenzo qui rêve d’aventures et du grand amour avec un homme, se fait capturer par un beau guerrier barbare, Magnus. Réduit en esclavage, Lorenzo va devoir se construire une nouvelle vie auprès de son maître… Le sexe est évidemment très présent dans l’histoire. Un mélange de passion, de brutalité, d’intensité. Le BDSM est en réalité assez léger, il est présent, mais s’intègre parfaitement aux barbares. Malgré les nombreuses scènes de sexe qui peuvent lasser ou alourdir la lecture, j’ai néanmoins aimé cette histoire et j’attends la suite avec un certain intérêt.
Avis: