Ce qui compte ce n’est pas ce que nous sommes, mais qui nous sommes. Oliver est humain, ou tout du moins il l’était jusqu’à ce qu’on le kidnappe pour faire des expériences génétiques sur son corps. Maintenant, il partage son esprit avec un ours, en étant incapable de se transformer, et est terriblement confus face à tout ça. Est-il un métamorphe ou un humain ? Pire encore, il est de plus en plus malade, et personne ne semble vraiment savoir comment l’aider. Il refuse même de se lier avec son compagnon parce qu’il refuse que Sebastian en vienne à souffrir si quelque chose devait lui arriver. Sebastian quant à lui désire que son compagnon guérisse, et la seule façon pour que cela arrive est de se rendre à New York pour kidnapper l’un des scientifiques qui lui ont fait cela. Avec l’aide de ses frères d’armes de Pride, il parvient à mener à bien cette entreprise, toutefois le fait qu’Oliver soit désormais guéri ne signifie pas que tous leurs problèmes sont derrière eux. Oliver devra désormais apprendre à se transformer et essayer de convaincre Sebastian qu’il va bien et qu’il peut être revendiqué, mais une fois qu’il y parvient, d’autres problèmes surgissent. Les deux amants auront-ils enfin le droit d’être ensemble, ou la pression les séparera-t-elle ?

Un sixième tome qui se laisse lire même si on ne retrouve plus l’engouement des trois premiers tomes. On poursuit avec l’intrigue autour des laboratoires et des tests génétiques sur les métamorphes et humains et on en apprend un peu plus sur cette organisation secrète à la tête de ces expérimentations illégales et inhumaines… Un duo aussi très attachant entre un Oliver, malade qui espère malgré tout pouvoir revivre ou tout du moins survivre et un Sébastian qui va tout faire pour sauver son compagnon quitte à lui-même se mettre en danger… Toujours une histoire simple et agréable à lire. Cependant, toujours une qualité de la traduction et de l’écriture qui laisse à désirer avec peut être moins de fautes d’orthographe ou d’erreurs de prénoms comme dans le précédent tome mais toujours malgré tout encore bien présent. C’est dommage car cela enlève un bon ressenti sur cette série qui semblait vraiment intéressante çà la lecture des trois premiers tomes.